Rituximab Dosing in Glomerular Diseases: A Scoping Review

Can J Kidney Health Dis. 2022 Oct 18:9:20543581221129959. doi: 10.1177/20543581221129959. eCollection 2022.

Abstract

Purpose of review: Rituximab is increasingly prescribed for glomerular diseases. However, the recently published Kidney Disease Improving Global Outcomes (KDIGO) 2021 Clinical Practice Guideline for the Management of Glomerular Diseases lacks details on recommended dosing regimens for most individual glomerular diseases. We performed this scoping review summarizing the evidence for rituximab dosing in glomerular disease.

Sources of information: PubMed database.

Methods: The PubMed search methodology was developed with a medical librarian and performed by the first, with review by a second, author. Randomized controlled trials (RCTs) and prospective cohort studies (PCSs) examining rituximab efficacy and/or safety in antineutrophil cytoplasm antibody (ANCA)-associated vasculitis (AAV), membranous nephropathy (MN), lupus nephritis (LN), or podocytopathies (minimal change disease or focal segmental glomerulosclerosis [FSGS]) were included. Fifty-three studies (14 RCTs and 39 PCSs) were included.

Key findings: We identified 16 different rituximab dosing regimens studied as induction therapy for one or more of the 5 glomerular diseases of interest. The most frequently studied rituximab induction regimens were 1000 mg as 2 doses 2 weeks apart (17 studies, 32%) and 4 doses of 375 mg/m2/week (18 studies, 33.9%). Twenty-six studies (49%) examined rituximab as monotherapy or in conjunction with corticosteroids alone, while the remaining studies examined rituximab as part of combination immunosuppression. Adapting treatment to achieve B-cell depletion, with frequent evaluation of disease-specific biomarkers, might prove the optimal approach to achieving and maintaining remission. Rituximab might also enable steroid minimization or avoidance.

Limitations: Restriction of the search to a single database and to studies published in the English language, and with an accompanying abstract, could have led to selection bias. While the search was limited to prospective observational studies and RCTs, no formal assessment of study quality was performed.

Motif de la revue: Le rituximab est de plus en plus prescrit pour traiter les maladies glomérulaires. Les lignes directrices de pratique clinique 2021 pour la prise en charge des maladies glomérulaires, publiées récemment par KDIGO, ne contiennent cependant aucun détail sur les schémas posologiques recommandés pour la plupart des maladies glomérulaires. Cette étude de portée résume les données concernant l’administration de rituximab pour le traitement des maladies glomérulaires.

Sources: Base de données PubMed.

Méthodologie: La méthodologie de recherche PubMed a été élaborée avec un bibliothécaire médical, réalisée par le premier auteur et révisée par le deuxième auteur. Ont été inclus des essais contrôlés randomisés (ECR) et des études de cohortes prospectives (ÉCP) portant sur l’efficacité et/ou l’innocuité du rituximab dans le traitement des vascularites associés aux ANCA (VAA), de la néphropathie membraneuse (NM), de la néphrite lupique (NL) ou des podocytopathies (maladie à changement minimal ou hyalinose segmentaire et focale (HSF). Cinquante-trois études (14 ECR et 39 ÉCP) ont été incluses.

Principaux résultats: Nous avons répertorié 16 différents schémas posologiques de rituximab étudiés comme traitement d’induction pour une ou plusieurs des cinq maladies glomérulaires d’intérêt. Les traitements d’induction avec rituximab les plus fréquemment étudiés étaient l’administration de 1 000 mg à raison de deux doses à deux semaines d’intervalle (17 études; 32 %) et de quatre doses de 375 mg/m2/semaine (18 études; 33,9 %). Vingt-six études (49 %) avaient examiné le rituximab en monothérapie ou en association avec des corticostéroïdes seuls; les autres études avaient examiné le rituximab dans le cadre d’un traitement immunosuppresseur combiné. Adapter le traitement pour atteindre l’épuisement des cellules B, avec évaluation fréquente des biomarqueurs spécifiques de la maladie, pourrait s’avérer l’approche optimale pour atteindre et maintenir la rémission. Le rituximab pourrait également permettre de minimiser ou d’éviter les stéroïdes.

Limites: La restriction de la recherche à une seule base de données et à des études publiées en anglais accompagnées d’un résumé pourrait avoir entraîné un biais de sélection. Bien que la recherche se limitait aux études observationnelles prospectives et aux ECR, aucune évaluation formelle de la qualité des études n’a été effectuée.

Keywords: antineutrophil cytoplasmic antibody-associated vasculitis; glomerulonephritis; kidney disease; nephrotic syndrome; rituximab.

Publication types

  • Review